Akhushtal danse
Akhushtal danse
https://youtu.be/7aXwTPQQ1_U
Elle lève la tête vers le ciel, laissant la complainte du vent la traverser, l'emplir.
Chant de la déesse pour ses enfants, souffle aux mille visages.
Akhushtal, Tetoe Innan, Coatlicue, Hera et bien d'autres encore...
Autant de noms que de formes, pour le symbole de l'éternel féminin, la déesse-mère, celle qui donne la vie et la mort, qui console et punit, qui guérit et qui meurtrit, celle que l'on redoute et que l'on chérit.
Pied qui se lève, esquisse un pas hésitant, y adjoint un deuxième. Rythme lent qui se trouve, se développe, bras qui souligne le tempo. Gestes amples qui viennent au fur et à mesure de l'écoute, hiératiques et pourtant souples.
Syncopés, répétitifs, hypnotiques
Ni marche funèbre ou martiale, et pourtant...
Ni tango ou flamenco, et pourtant...
Désespéré, sensuel, léger comme un parfum, lourd comme la chaleur d'une main au creux des reins.
Maintenant, le vent souffle plus fort, plus vite, elle le suit, accélérant imperceptiblement le rythme.
Il a acquis une nouvelle intensité: désespoir féroce teinté d'une subtile allégresse, à moins que ce ne soit une féroce allégresse teintée de subtil désespoir, hymne à la vie, à la mort, éternel recommencement.
Elle abandonne son corps à la déesse, tandis que les figures s'enchainent, savantes arabesques sidérantes de simplicité. L'harmonie est la clef de ce motif entrelacé, dont la complexité vient des pas répétés, enchainés et dont le tempo monte crescendo.
De l'acceptation, naît l'harmonie et la symbiose.
Le temps de la rébellion et de la négation est passée, ensemble, elles avancent au rythme de leur danse.
Elle lève la tête vers le ciel, laissant la complainte du vent la traverser, l'emplir.
Chant de la déesse pour ses enfants, souffle aux mille visages.
Akhushtal, Tetoe Innan, Coatlicue, Hera et bien d'autres encore...
Autant de noms que de formes, pour le symbole de l'éternel féminin, la déesse-mère, celle qui donne la vie et la mort, qui console et punit, qui guérit et qui meurtrit, celle que l'on redoute et que l'on chérit.
Pied qui se lève, esquisse un pas hésitant, y adjoint un deuxième. Rythme lent qui se trouve, se développe, bras qui souligne le tempo. Gestes amples qui viennent au fur et à mesure de l'écoute, hiératiques et pourtant souples.
Syncopés, répétitifs, hypnotiques
Ni marche funèbre ou martiale, et pourtant...
Ni tango ou flamenco, et pourtant...
Désespéré, sensuel, léger comme un parfum, lourd comme la chaleur d'une main au creux des reins.
Maintenant, le vent souffle plus fort, plus vite, elle le suit, accélérant imperceptiblement le rythme.
Il a acquis une nouvelle intensité: désespoir féroce teinté d'une subtile allégresse, à moins que ce ne soit une féroce allégresse teintée de subtil désespoir, hymne à la vie, à la mort, éternel recommencement.
Elle abandonne son corps à la déesse, tandis que les figures s'enchainent, savantes arabesques sidérantes de simplicité. L'harmonie est la clef de ce motif entrelacé, dont la complexité vient des pas répétés, enchainés et dont le tempo monte crescendo.
De l'acceptation, naît l'harmonie et la symbiose.
Le temps de la rébellion et de la négation est passée, ensemble, elles avancent au rythme de leur danse.
khala- Messages : 1826
Date d'inscription : 08/02/2011
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